Y’en a marre des fourberies de ce gouvernement !

De notre temps, il faut être aveugle pour ne pas se rendre compte de ce qui se prépare au dessus de nos têtes. Nos jugements sont quotidiennement sollicités, mis à l’épreuve, malgré toutes les niaiseries de ce gouvernement. On trouve encore des personnes capables de le défendre avec bec et ongle. En effet, suite à une discussion, un ami tente malgré ses efflanqués arguments de me convaincre de la bonne gestion du pays par SarkoII. La réforme des retraites, le fameux prétexte de l’insécurité, l’immigration toujours liée à l’insécurité, la bonne gestion de la crise économique...

Bien que le parti socialiste ne se lasse pas de dénoncer les réformes injustes de l’équipe dirigeante, certains citoyens utopistes et aveugles jouent sur la discorde et attisent la haine. Il ne s’agit pas là de clivage politique gauche- droite, mais plutôt de l’intérêt national, donc de l’union des forces vives de ce pays pour former un mur infranchissable en 2012 pour la droite.

La position des dirigeants socialistes s’oppose entièrement à cette équipe qui est entrain de ronger l’esprit de certains citoyens. Franchement, restons lucides un moment car le gouvernement nous assène quotidiennement avec des contrevérités. J’espère qu’on a encore le droit dans ce pays de nous battre contre la pensée unique et l’alignement irrationnel comme des androïdes sur toutes les mesures prises par nos dirigeants fussent-ils de notre bord.

L’essoufflement de ce gouvernement saute aux yeux, qui peut prétendre le contraire sauf les incorrigibles soutiens traditionnalistes qui ne cherchent qu’à exister. Par la même circonstance, l’intérêt de leur parti passe incontestablement d’abord avant celui de la France.
Par conséquent, la mobilisation doit être continue et solide, sinon, la droite avec le soutien de certains médias parisiens nous fera le coup de la sécurité, de l’immigration, de l’islam et étouffera tout débat constructif.

Les échéances électorales approchent, la vigilance est de rigueur !

La force de l’espoir !

Une consolation justifiée avec l’arrivée dans notre ville de Razzy Hammadi, le mercredi 1 décembre 2010, sous l’impulsion de Christophe Léonard (conseiller général), nous redonne espoir. La relève est en effet  en marche, le parti socialiste possède heureusement une génération qui est disposée à prendre la relève ; l’alternance doit être une priorité de notre parti. Razzy rappelait que quiconque a sa place au sein du parti socialiste, il suffit de faire ses preuves : militantisme actif,  implication, ancienneté au sein du parti… 

  Néanmoins, il n’est pas faux de rappeler que les réseaux demeurent une réalité nuisible aux émergences de nouveaux talents. Les réseaux brisent les ambitions, détruisent les motivations et surtout excluent, dans certains cas, les plus méritants. Aujourd’hui, nous voulons conquérir le pouvoir et dire adieu à la malédiction des élections présidentielles que nous n’avons pas gagnées depuis Mitterrand. Donc, il est primordial que les forces vives du parti (La jeunesse) soient prises en considération. Cette relève est inévitable pour la continuité et la persévérance du parti socialiste. Les échéances électorales approchent à grande vitesse et pour être compétitifs et convaincants, la cohésion à tous les niveaux est une exigence inéluctable.

D’autre part, il est évident que l’expérience des doyens (politiquement parlant) est nécessaire ; elle doit être le véhicule de l’émergence et la réforme du parti dans ses entrailles ; sinon c’est la stagnation.

Préparer  l’avenir, c’est anticiper l’alternance.

A vos marques, prêts, restez !

L’hyper-président,l’omniprésent veut se donner une nouvelle image de président flegmatique. Son jeu est révolu, les français l’ont cerné. Et voila que depuis des mois qu’on nous annonce un remaniement gouvernemental d’une grande ampleur. Le suspens était total relayé par certains médias qui jouent du violon sur les injonctions de leur chef d’orchestre omnipotent, Sarkozy, mais oui ! Il n’y a pas eu de remaniement mais plutôt un ajustement stratégique au vu des élections présidentielles de 2012. En effet, les pseudos-gauchistes qui ont rallié le gouvernement sous un nom de couverture (l’ouverture, l’intérêt national) sont jetés comme du linge sale, impropre aux bienveillantes manières idéologiques du nouveau parti (RPR), réorganisé nouvelle génération. Le nouveau cap (droite toute) est synonyme d’une frustration, d’une inquiétude qui est entrain de ronger l’état d’esprit du président et de son clan.

Rappelez-vous, les vilipendes stériles contre les Roms, démantèlement des camps, exagération de l’étendu d’implication des Roms dans des vols, ou d’infraction de droits communs. Ils veulent nous faire croire en ethnicisant les tourments de la société, qu’en désignant des boucs émissaires, les français mordront à l’hameçon. Cette fois, les français ont pris leur distance par rapport aux assertions du gouvernement, car le peuple est imprégné par les affluences de réformes stériles. Le gouvernement panique, sa déraison le conduit à sa propre perte. En effet, la priorité des français se situe sur d’autres questions : les retraites, l’égalité de traitement, la fiscalité notamment le bouclier fiscal qui favorise toujours les mêmes (les plus aisés). Ce gouvernement est aveugle et veut nous engager sur une esplanade de tiraillement social qui aboutira à l’explosion de nos valeurs républicaines. Donc, le sautillement du président et de son nouveau gouvernement résume finalement leurs inaptitudes face aux problèmes et aux attentes de millions de français.

Revenons au pseudo remaniement qui n’en est pas un, car intégrer les villepinistes (Tron…), dans le seul but d’affaiblir De Villepin est loin de l’intérêt national  chère à sa majesté ZarkoII. Que du pipeau ! Aujourd’hui, les centristes crient au scandale d’avoir été instrumentalisés comme des pigeons, tu parles ! Ils ont été attirés par la fonction ministérielle au détriment de leur idéologie politique. Ils ont adhéré pantalon à la main au gouvernement, mis à la porte, ils crient au lynchage politique, au clanisme de la part de l’UMP. Seulement, le désœuvrement du parti présidentiel, du gouvernement illustre la cacophonie de la droite et naturellement le centre de Morin excommunié au nom de l’union du RPR. Cette transmutation renvoie un message clair aux français, n’attendez plus rien de ce gouvernement, il est à bout de souffle, il ne réfléchit plus, il est stérile, donc voué à l’échec.

Ce gouvernement pense déjà à la nouvelle échéance électorale. On le voit déjà de part sa stratégie de communication en procédant au remodelage des postes de ministres.

Doit-on rester attentifs, mobilisés ou passifs dans l’attente que le gouvernement change de politique ? Il ne changera jamais, restons combattifs et dévoués à nos valeurs de gauche.