Le combat est dur, les amis?

La pénombre du gouffre promet un avenir sur lequel personne ne peut miser ni y aller des prévisions expertes infondées, qui nous annoncent des temps meilleurs. Donc, les amis, notre promotion de l'institut universitaire coïncide, par mal chance avec cette crise, qui ravage tout sur son passage: l'immobilier, l' emploi, la bourse, le capital, l'épargne etc...elle commence même à entamer notre capital humain et social. Notre moral doit rester le moteur de notre existence et le véhicule de notre résistance face à la déception, à l'échec et cette sensation parfois d'injustice qui est souvent justifiée. On doit former un socle solide, créer un réseau d'informations pour se faire passer les offres et les opportunités d'emploi.

C'est vrai, après tant de réponses négatives, on en vient à se dire que c'est foutu, que de toutes les façons c'est perdu d'avance, moi je dis non. Il faut continuer à se battre, reprenez s'il le faut une formation en licence pour anticiper la décrue de la crise.

L'acharnement assidu finit toujours par payer?